Maisons bulles, quelques nouveautés

Comme à l’accoutumée, je fais le tour des publications concernant cette architecture qui me hante tant…

En décembre, j’ai découvert dans la librairie Le Moniteur (Paris Odéon) quelques ouvrages ayant pour sujet l’architecture « bulle ».

Le livre « Antti Lovag : Habitologue » :
Antti Lovag Habitologie

 

Le livre « Bulles : Conversation avec Pascal Häusermann » :
Bulles : Conversation avec Pascal Häusermann

 

Le livre « Jean Benjamin Maneval : La bulle six coques » :
Jean Benjamin Maneval : La bulle six coques

J’ai également fouillé sur le net en quête de nouveaux sites, et oh surprise, il y a un petit nouveau :

Maison Bulle Bioclimatique Ou comment suivre la construction d’une maison bulle bioclimatique enterrée et intégrée au paysage à Montgivray dans l’Indre (36).

Il y aussi le site de Jérôme Peyret qu’il a agrémenté de ses projets architecturaux en voile de béton : maison-bulle.fr

Au Revoir Simone

Ça fait quelques années que je suis l’évolution de certains groupes, et, il y en a un que j’affectionne tout particulièrement, c’est le groupe des new-yorkaises d’Au Revoir Simone.

Au début du mois, avec ma femme, nous avons assisté à un concert rare car le groupe français AIR invitait les Au Revoir Simone sur scène !

AIR qui joue du Au Revoir Simone et l’inverse 🙂 belle soirée !

C’était dans la grande salle de concert de la Cité de la Musique à Paris.

Voici, quelques vidéos pour vous faire un idée de la soirée.

Désolé le son des vidéos n’est pas terrible parfois (saturé) 🙁










Farinelli une voix de castrat à l’IRCAM

En continuant mes recherches sur les ISPW, j’ai fouillé dans les productions et collaborations de l’IRCAM, et j’ai ressorti un de mes DVD…

Il y a quelques années, grâce au visionnement du film Farinelli de Gérard Corbiau j’avais trouvé un excellent exemple d’utilisation de Max et d’autres outils de l’IRCAM dont le vocodeur de phase SVP sur des stations DEC et NeXT.

Farinelli le DVD
Je conseille ce film qui est plaisant pour ceux qui s’intéressent à la musique sous toutes ses formes !

Le film retrace la vie en partie romancée du castrat Farinelli. Mais, ce qui nous intéresse ici, enfin surtout moi, c’est le travail du département « Analyse et Synthèse de la Voix » de l’IRCAM qui, pour tenter de se rapprocher du mieux possible de la voix d’un castrat, a réalisé l’association de deux voix (une soprano et un contre-ténor) pour n’en faire qu’une à l’aide d’outils logiciels.

Ainsi, ils ont crée, à partir de ces deux voix, une voix artificielle, juvénile, puissante et agile. Ils ont fait cela à partir des enregistrements des deux chanteurs aux voix complémentaires : la Polonaise Ewa Godlewska (soprano colorature) et l’Américain Derek Lee Ragin (contralto) ont enregistré les mêmes airs, Ewa prenant le relais de Derek dans les aigus et inversement dans les graves. Grâce aux techniques de synthèse de l’Ircam, Philippe Depalle et Marc David-Calvet ont poli les différences de timbre pour fournir l’impression d’une voix unique.

Donc, dans ce film, il y a une utilisation massive du traitement et de synthèse de la voix, et cerise sur le gâteau dans les bonus, il y a un reportage sur la naissance de cette voix mixte (humaine et de synthèse). Voici un lien vers un extrait de ce reportage Nostalgie d’une voix perdue, making-of du film Farinelli, il castrato

Et visiblement, l’ensemble du document est disponible « illégalement ? » sur youtube :


Part 1/3


Part 2/3 (IRCAM a partir de 4’58 ».)


Part 3/3

Quelques images extraites du reportage :

Studio IRCAM
Un des studios d’étude de l’IRCAM, les claviers sont des Yamaha DX7.

IRCAM at works
Les protagonistes du traitement audio du film au travail, à gauche devant Philippe Depalle une des ISPW (NeXT).

IRCAM
Philippe Depalle expliquant le traitement.

IRCAM
L’équipe au travail, au fond un empilement d’échantillonneurs Akai S1000 et S1000PB.

Quelques lectures :

Sphères, dômes, boules et compagnies…

Dans un des mes anciens sites web (1997), j’avais une rubrique dédiée à l’architecture de type sphérique et de ses dérivés. Récemment, j’ai cherché sur le web un site fédérateur sur ce sujet… Et ça été plutôt une bonne surprise. En effet, il y a profusion de sites ou de pages ayant pour sujet ce type d’architecture ! Mais, je n’ai toujours pas trouvé de réel site « fédérateur »…

Au vu du nombre important de visites en rapport avec ce sujet, j’ai décidé d’étoffer cette catégorie sur notre site web !

  • Le Palais bulle de Pierre Cardin, initialement appelé l’Esquillon et construit pour M. Bernard par Antti Lovag.

    L'Esquillon (ou le palais bulle de M. Cardin)

    L'Esquillon

    L'Esquillon

  • La maison Gaudet est la seule maison de ce type classée aux Monuments Historiques. Elle y est déclarée sous le nom de « maison du Rouréou », construite (mais encore inachevée) par Antti Lovag.

    La Maison Gaudet

    La maison Gaudet (la terrasse)

    Les références de la Base des Monuments Historiques
  • La maison Roux construite à partir de plans d’Antti Lovag.

    La cuisine ouverte.

    La piscine à débordement.

    La cuisine fermée.

  • Le travail d’architecture de Jérôme Peyret (voir son site web : www.maison-bulle.fr)

  • Quelques images du laboratoire du GI2T de l’Observatoire de la Côte d’Azur

    Le GI2T serait-il la demeure des Barbapapa ?
    Pour en savoir plus, visitez la page historique du laboratoire d’interférométrie stellaire exoplanétaire (LISE) !

  • La bulle et l’Architecte

    « La Bulle et l’Architecte » raconte l’histoire de Pascal Häusermann, un architecte qui bouleversa les conventions en réinventant une manière d’habiter et de construire. En 1959, Pascal Häusermann construisit sa première maison individuelle révolutionnaire, qui sera le point de départ de toute sa conception architecturale : la maison-œuf, une construction ovoïde en voile de béton ou de plastique, constructible soi-même et transportable facilement.

    La bulle et l'Architecte

    Pendant une quinzaine d’années, il construit ainsi des dizaines de maisons. Mais, dans les années 70, ses clients ont de plus en plus de difficultés à obtenir des permis de construire. Ceci le contraindra à s’éloigner de l’architecture. Aujourd’hui, Pascal Häusermann partage sa vie entre Genève et Madras où il recommence à construire.

    « La Bulle et l’Architecte » l’accompagne dans ses voyages en Suisse, en France, à New York et en Inde. À travers son architecture, le film montre une autre manière de vivre en société. Le filme dure 51 minutes.

    Pour en savoir plus sur le film, consultez le site web de : docnet

    Dans le même registre…

    Lors d’un des chantiers d’été organisé par l’association « Hommes et Habitat » autour d’Antti Lovag en 2003, un film a été tourné… Mais je ne sais pas ce qu’est devenu le projet… En cherchant sur le web j’ai trouvé quelques références :

    LES MAISONS D’ANTTI LOVAG
    Hugues Peyret, France, 2004, 57 min, français (je ne sais pas où se procurer ce film)
    L’architecte Antti Lovag est né en Hongrie en 1920. Célèbre pour le Palais Bulle, un palais hors norme face à la Baie de Cannes et aujourd’hui propriété de Pierre Cardin, il développe des conceptions novatrices de l’habitat, centrées sur les besoins de l’individu et l’autoconstruction. Pour lui, l’architecture est une façon de vivre. Dans les années 1960, il sera l’un des premiers à expérimenter en France une architecture « organique », qui emprunte ses formes à la nature et tend à une relation étroite avec les sites naturels.

    J’ai également trouvé un reportage (en ligne) sur la maison de Hélène et Christian Roux : question-maison
    Cette maison a été pensée et conçue par Antti Lovag.

    Le musée de la cité de la musique réouvre enfin !

    Depuis des années, je demandais régulièrement à l’accueil et par téléphone la même et lancinante question, à savoir : « Mais quand l’espace XX siècle réouvrira-t-il enfin ? ».

    Après des années d’attente, finalement, le musée réouvre ! Et comme à son origine, il y a un espace réservé pour la lutherie du XX siècle… Sous entendu un espace pour la lutherie électrique voir électronique !

    Il est maintenant possible d’admirer dans cette partie quelques une des merveilles de lutherie électrique et électronique du XX siècle ! Pour information, le musée possède et stocke en réserve une grande quantité d’instruments de valeur qui auraient évidement de bonne raison d’être visibles… Ah, si seulement le musée était plus grand…

    J’espère que comme pour moi votre passion pour la lutherie électronique n’est pas exclusive et que vous êtes ouverts également à la lutherie classique. Dans ce cas, vous pourrez vous régalez en visitant ce superbe musée ! Il est intéressant de savoir que des concerts sont donnés sur les instruments des « collections vivantes » aux heures de visites le week-end. On peut ainsi écouter un concert de musique « classique » et les explications du musicien sur l’historique et les spécificités de son (ou ses) instruments (j’ai assisté, par exemple, à une démonstration de musique troubadour avec tambourin, clochette et fifre, et une autre fois à un concert de guitare et de luth, j’ai aussi apprécié le concert de contrebasse).

    Bref rappel chronologique à propos du musée :

    – Ouverture du musée en 1997. A l’origine le musée comportait un espace XX siècle… mais rapidement, par manque de place pour les expositions temporaires, cet espace est libéré, et hop plus d’instruments du XX siècle accessible au public 🙁 et à la place un espace pour les expositions temporaires ! Dans la version actuelle cette disposition est maintenue, et l’espace XX siècle a été casé ailleurs.
    – Jusqu’au 29 juin 2008, seuls les espaces consacrés aux XVIIe et XVIIIe siècles étaient ouverts.
    – Du 30 juin au 20 octobre 2008, le musée était fermé pour travaux.
    – Du 21 octobre 2008 au 1er mars 2009, l’exposition Serge Gainsbourg est accessible à tous les publics.
    – Dans la même période, les espaces consacrés aux XIXe, XXe siècles et Musiques du monde sont ouverts uniquement aux visites guidées.

    Et … à partir du 3 mars 2009, réouverture complète du musée !

    Voici quelques images extraites du site du musée :


    Espace XX siècle
    Quelques intruments : Theremin, Ondes Martenot, Orgue Hammond, …

    Espace XX siècle suite
    Encore d’autres instruments : MOOG Synthétiseur modulaire et synthétiseurs série 700, EMS VCS3, Synthétiseur modulaire EMU, …

    Au 1er plan la 4X de l'IRCAM
    Le calculateur 4X mobile de l’IRCAM au 1er plan, et ensuite dans l’ordre : le violon électrique de Max Matthews, un Yamaha DX7, le clavier d’un Synclavier I, un ensemble guitare MIDI G10 de Yamaha et l’UPIC du CEMAMu.

    La flute et la 4X
    La flute MIDI, son rack VME d’interface et la 4X mobile de l’IRCAM.

    La console expérimentale du G.R.M.
    La console expérimentale du Groupe de recherche Musicale.

    Pour les passionnés une seule solution : Visitez sans modération le musée !

    Pour plus d’information, consulter le site web du musée de la cité de la musique !

    Voici la description du musée, elle est extraite de leur page de présentation :

    Ouvert en 1997, le Musée de la musique est un lieu unique rassemblant, au sein de la Cité de la musique, une collection d’instruments de musique, d’œuvres d’art et de maquettes, permettant de relater quatre siècles d’histoire de la musique occidentale et de présenter un aperçu des principales cultures musicales de par le monde.

    Pierre Henry

    Pierre Henry est un vétéran de la musique électroacoustique … un des pionniers de ce que l’on appelle maintenant la musique électronique… En effet, c’est dans les années cinquante que Pierre Henry et Pierre Schaeffer « inventèrent » la Musique Concrète. Une musique qui n’est plus « simplement » basée sur la « note » mais sur le « son » !

    On peut dire que c’est l’un des maitres de l’échantillonnage sonore ! La vidéo suivante donne une idée du travail… de fou : la musique est principalement basée sur des morceaux choisis de son, et le tout a été assemblé selon la méthode du copié / collé, mais avec des bandes magnétiques et un cutter, et oui, à l’époque en 1967, il n’y avait pas de micro-ordinateur et ni de home studio ! ! !

    La vidéo moderne d’un des « tubes » de Pierre Henry, Psyché Rock :

    Il y a quelques temps A.R.T.E. a diffusé un film/reportage d’Eric Darmon et Franck Mallet sur Pierre Henry ou l’art des sons.

    Dans les années cinquante, Pierre Henry provoqua un scandale en inventant avec Pierre Schaeffer la Musique Concrète. La musique n’était plus écrite avec des notes sur une partition destinée aux instrumentistes mais était basée sur des sons et des bruits issus de notre environnement transformés ensuite par des machines. Innovateur radical, il compose plusieurs « hits » qui marqueront leur époque : Symphonie Pour Un Homme Seul, Messe Pour Le Temps Présent, Dixième Remix….
    Aujourd’hui, ce sont de jeunes musiciens du monde entier et particulièrement des DJ de musique électronique qui se revendiquent comme les disciples de Pierre Henry et de son travail dans la transformation des sons. Dans Pierre Henry ou l’art des sons, nous le suivons à recherche d’un son à la Coulée Verte à Paris. Alors que le voyage continue, nous sommes projetés 40 ans en arrière à Bordeaux où le public quitte une représentation du Concert Couché…

    Pierre Henry

    Le film au format DVD est disponible chez l’éditeur ideale-audience

    Pour en savoir plus sur lui et son œuvre, voir l’indispensable page qui lui est consacré sur Wikipedia

    Minimaliste, voir répétitif…

    Dans l’univers des compositeurs contemporains, il y a un mouvement particulier que l’on appelle « Minimaliste », « Répétitif », voire même les deux simultanément : « Minimaliste répétitif ». C’est en 1984, que j’ai entendu pour la 1ere fois une oeuvre utilisant ce type de composition. Cette écoute a immédiatement éveillé chez moi un intérêt grandissant pour ce pan de la musique contemporaine.


    koyaanisqatsi CD

    Beaucoup plus tard, j’ai vu (oui voir en plus d’écouter… le visuel c’est important), à Lille (vers 1987) un concert/film où était projeté le film KOYAANISQATSI de Godfrey Reggio en même temps qu’était interprété la musique de Philip Glass dans la scène/fosse par un orchestre d’orgues, de synthétiseurs et de choristes… C’était grandiose !

    koyaanisqatsi DVD

    Donc, j’avais vu KOYAANISQATSI, cela a tout de suite été une révélation, la même année, j’écoutais en boucle ZOOLOOK de Jean-Michel JARRE, Even in the Quietest Moments de Supertramp, et les incontournables : Ummagumma, Dark Side of the Moon, Wish You Were Here des Pink Floyd… Par la suite, j’ai grandi avec Glass, Brian Eno, Erik Satie, Laurie Anderson et beaucoup d’autres 😉

    Ensuite, j’ai eu la chance de travailler au CERGA dans le sud de la France, cela m’a donné l’opportunité de voir pour la 2eme fois vers 1992 à Nice le concert/Film KOYAANISQATSI, ainsi qu’une version réécrite pour orchestre de « LOW SYMPHONY » et peut être également, (même si je pense que non, mais bon, je ne me souviens plus trop) « HEROES SYMPHONY » d’aprés une musique de « David Bowie » et « Brian Eno« . A cette période(début du Web), j’ai découvert d’autres oeuvres de Philip Glass.


    Heroes Symphony

    Il y a quelque temps (2 octobre 2004) ARTE a diffusée un reportage très intéressant de Eric Darmon sur Philip Glass. Vous pouvez maintenant le voir en DVD, il est disponible par exemple sur amazon ici.

    Looking Glass

    J’ai découvert les autres minimalistes plus tard, en particulier Steve Reich qui m’a été en partie dévoilé par mon ami Candor Chasma. C’est maintenant l’un de mes préfèrés avec Philip Glass !

    Steve Reich a composé beaucoup d’oeuvres, très intéressantes dans l’utilisation des interférences, des phénomènes de rémanence phychoacoustique… J’en parlerai prochainement, dans un autre article…

    Au revoir Simone

    Un groupe de fille qui sonne bien ! Cela change des cris et hurlements habituels… Nous sommes dans notre période cool 😉 enfin ça fait maintenant un paquet d’années ! On y trouve un petit goût de Air -French Band- 😉 avec une touche artisanale très féminine.

    Bon, assez parlé, voici quelques vidéos du groupe :


    « Fallen Snow » de l’album « The Bird of Music ».


    « Sad Song » de l’album « The Bird of Music ».

    Les mêmes sur scène, plutôt jeunes ça saute de partout ! Mais, là aussi c’est agréable, il y en mare des gens qui ont la grosse tête, et trop souvent des problèmes de chevilles !

    Et également ces deux vidéos issues d’un concept intéressant www.blogotheque.net ou Les concerts a emporter :


    « Stay Golden » de l’album « Verses of Comfort, Assurance & Salvation ».


    « Night Majestic » de l’album « The Bird of Music ».

    Et pour terminer le site web du groupe : aurevoirsimone.com

    Phonogramme et Sonographe de Vincent Lesbros

    Phonogramme

    Phonogramme est un programme permettant de créer, de transformer, de composer des sons et des formes musicales. Ce logiciel a été développé de 1993 à 1996 au GAIV (Groupe Art et Informatique de Vincennes à St Denis, Université Paris VIII) par Vincent LESBROS.

    phonogramme pour Macintosh sous Mac OS/9

    Un lien intéressant sur le sujet et aussi le sonagramme dans différents logiciels.

    Sonographe

    Développé au GAIV (Groupe Art et Informatique de Vincennes à St Denis) Sonographe est un outil pour la création de sons musicaux à partir de différentes représentations graphiques : Les Sound Potatoes permettent de créer des sons de cordes pincées en un tour de souris, Les Graphes de couplages élastiques permettent de créer des oscillateurs et des filtres et enfin, les images (bmp, jpeg…) peuvent être interprétés comme des sonagrammes pour produire des fichiers de son (.wav) ou être directement interprétés en MIDI. Des pinceaux spécialisés permettent de dessiner directement des harmoniques et des répétitions. Les fichiers MIDI peuvent être utilisés pour contrôler les tracés des pinceaux. Cette version est une adaptation/recréation de l’application Phonogramme dans l’environnement .NET, elle est entièrement écrite en C# et utilise DirectX managé pour les entrées sortie audio.

    sonographe pour PC sous Windows

    Pour en savoir plus sur le travail de Vincent Lesbros consulter sa thèse ici.